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Les écrans de sous-toiture existent sous différentes formes comme les écrans rigides que sont les panneaux de particules ou de contreplaqué, les écrans souples de type HPV hautement perméables à la vapeur d’eau, les écrans polyéthylène ou les barrières radiantes de sous-toiture ou écrans réfléchissants. Il existe aussi des écrans bitumineux, plus lourds que les écrans synthétiques. Ils offrent une très forte résistance mécanique et une bonne tenue au vent. Leur surface antidérapante facilite leur mise en oeuvre.
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Les fonctions des écrans de sous-toiture sont multiples. Ils protègent les combles des infiltrations de poussière, de suie ou de neige. Ils évitent les intrusions d’insectes, oiseaux et éventuels rongeurs. Ils permettent aussi de recueillir et évacuer les eaux de ruissellement dues à la condensation. Sans compter qu’ils viennent en complément de l’isolant et améliorent la performance thermique de la toiture.
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Durant le chantier de construction, les écrans de sous-toiture participent à la mise hors d’eau de la maison, pour une durée n’excédant pas huit jours et dans des conditions climatiques normales.
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Le Centre scientifique et technique du bâtiment précise qu’en bâtiment neuf ou en réfection complète, l’usage d’écran de sous-toiture de type HPV sous avis technique ou homologation est requis. Il permet la pose de l’isolant au contact de l’écran, sans lame d’air entre l’écran et l’isolant. Un pare-vapeur indépendant et continu doit compléter cette isolation côté intérieur.
Le bois doit donc être traité pour résister à ces attaques et faire face aux intempéries. Les produits de traitement apportent une durabilité structurelle au bois. Il s’agit de produits biocides dotés de propriétés insecticides, fongicides ou anti-termites, souvent mis en oeuvre grâce à des procédés d’imprégnation sous pression en autoclave. Les produits de protection apportent une durabilité esthétique.
Vous pouvez utiliser des produits filmogènes comme les vernis, les peintures, les vitrificateurs ou certaines lasures ou bien des produits d’imprégnation comme les huiles naturelles et les saturateurs qui pénètrent dans le bois jusqu’à saturation.
Types de Tuiles | Situation | Zone 1 (m.p.m) | Zone 2 (m.p.m) | Zone 3 (m.p.m) |
Protégée | 0,30 | 0,30 | 0,45 | |
Grand moule | Normale | 0,35 | 0,45 | 0,50 |
Exposée | 0,50 | 0,60 | 0,70 | |
Protégée | 0,35 | 0,45 | 0,50 | |
Petite moule | Normale | 0,45 | 0,50 | 0,60 |
Exposée | 0,60 | 0,70 | 0,75 |
Votre maison est située à plus de 40 km de la côte, à une altitude inférieure à 200 m au-dessus du niveau de la mer.
Votre maison est située entre 20 et 40 km des côtes, à une altitude de 200 à 500 m au-dessus du niveau de la mer.
Votre maison est située à moins de 20 km de la côte, à une altitude supérieure à 500 m au-dessus du niveau de la mer.
• Le sarking, c’est cette méthode d'isolation de la toiture par l'extérieur, utilisée pour aménager des combles. Elle convient à une charpente de type traditionnel constituée de chevrons posés de manière régulière. Elle consiste à disposer des plaques isolantes, généralement en matériau synthétique, de manière transversale aux chevrons. On préserve ainsi l’esthétique de la charpente d’origine. Sa mise en oeuvre est rapide. La mise en place d’un platelage permet d’obtenir une surface plane au-dessus des chevrons de la charpente puis, d’un frein-vapeur, afin de garantir une étanchéité à l’air. L'association d'un sous-toit et de panneaux isolants permet ainsi de lutter contre les ponts thermiques. Le sarking apporte de hautes performances thermiques et phoniques.
• Les panneaux autoportants sont des plaques associées à d’autres éléments pour sécuriser et étanchéifier votre installation. Conçus pour être posés directement sur les pannes de la charpente, ils permettent de supprimer les chevrons. Ils couvrent alors d’un seul tenant toute la hauteur du toit. Une âme isolante incorporée au coeur du panneau assure l’isolation thermique. Les panneaux peuvent ensuite être revêtus de tout type de couverture.
1 Vous souhaitez réhabiliter des parois de locaux chauffés qui donnent sur l'extérieur, transformer un garage en pièce d'habitation, mener d’importants travaux de réfection de votre toiture.
2 Vous entreprenez un ravalement important de la façade d'un bâtiment chauffé, c’est-à-dire, refaire l'enduit existant, ajouter ou remplacer un parement. L'isolation thermique est obligatoire si le ravalement concerne au moins 50 % de la façade en dehors des ouvertures. Les travaux d'isolation s'appliquent aux façades constituées de briques industrielles, de blocs béton industriels ou assimilés, de béton banché ou de bardages métalliques
3 Vous aménagez une pièce de plus de 5 m² de surface de plancher pour la rendre habitable, qu’il s’agisse de combles, d'un garage annexe ou d’une pièce non habitable, non enterrée ou semi-enterrée. Vous devez alors isoler les planchers bas qui donnent sur l'extérieur ou sur un local non chauffé, les toitures en pente ou les toitures terrasses, les murs donnant sur l'extérieur.
4 Vous effectuez des travaux de réfection sur au moins 50 % de la surface de votre toiture, vous installez une sur-toiture.
Les tuiles sont certainement les plus répandues pour couvrir les toits. Elles peuvent ainsi être en terre cuite, dites écailles en Alsace, plates en Bourgogne, romanes dans le Sud. Elles peuvent être aussi en béton, offrent une forte résistance au gel et ont une durée de vie très longue. Au nord de la Loire, c’est l’ardoise qui est la plus utilisée. Elle résiste particulièrement bien aux intempéries et offre de belles performances thermiques. La couverture peut aussi être en métal le plus souvent en zinc ou en acier (bac acier), étanche, résistant et facile d’entretien. C’est un matériau qui s’adapte à toutes les formes, aux pentes de toit, à tous les styles architecturaux. Les tuiles en bois sont traitées pour être imputrescibles et résister aux épreuves du temps. Elles sont particulièrement performantes au niveau thermique et acoustique. Grâce aux cellules photovoltaïques qui les constituent, les tuiles photovoltaïques convertissent l’énergie du soleil en électricité. Dans certaines régions, le chaume procure d’intéressantes performances thermiques tout en apportant un charme certain à votre habitat.
Prolongez la vie de la couverture en imperméabilisant les tuiles, en éliminant les mousses et les lichens qui se forment et nuisent à la longévité de la couverture et à son pouvoir d’étanchéité. Pensez aussi à vérifier régulièrement l’état de la charpente, des noues et des solins. Remplacez ardoises et tuiles cassées, nettoyez régulièrement les gouttières et les chéneaux en zinc, en PVC ou en aluminium
Au moment de la pose de la couverture, n’hésitez pas à panacher les tuiles ou les ardoises, en utilisant simultanément plusieurs palettes. Les différentes nuances de fabrication ou de couleurs naturelles se trouvent ainsi réparties sur l’ensemble du toit.
Dans le neuf comme dans la rénovation, les volets roulants s’installent sur le cadre existant de la fenêtre, quels que soient le type et la pente du toit. La fenêtre peut toujours pivoter librement pour aérer la pièce ou permettre le nettoyage. Le coffre, recevant le volet roulant, s’intègre harmonieusement à l’ensemble de la fenêtre.
Si votre toit est plat, vous pouvez poser un siphon qui favorisera l’écoulement. N’hésitez pas à poser un filtre ou une crapaudine pour empêcher le passage de feuilles et branchages.
Un conduit de cheminée est constitué de trois éléments : un conduit de fumée, un conduit de raccordement et une sortie en toiture. Il peut être métallique ou maçonné avec des boisseaux de terre cuite, béton, brique ou terre cuite émaillée. Selon les normes en vigueur, une distance de sécurité de 80 mm doit être ménagée entre la paroi externe du conduit et un éventuel matériau combustible. Le diamètre des conduits peut mesurer, selon le type de foyer, entre 180 et 230, voire 300 millimètres. Veillez à poser correctement la sortie de toit. Elle est fixée à l’intérieur grâce à deux barres perforées qui sont vissées dans la charpente et quatre grandes tiges filetées qui maintiennent la cheminée faisant office d’étrier. Prévoyez au moins 8 centimètres entre le conduit et le bois de charpente pour éviter tout risque d’inflammation.
Il faut veiller à l’application de la NF DTU 24.1, publiée en février 2006, et prendre en compte l’Arrêté du 31 octobre 2005, relatif à la réversibilité énergétique en maison individuelle (Loi sur l’air), ainsi que les réponses techniques en vue de l’application de la réglementation thermique RT 2012.
L’assemblage des éléments peut se faire soit par collage, soit par système à joint (ce système permettant une dilatation adaptée aux conditions climatiques). Les accessoires servent à assembler les éléments quelle que soit la mise en oeuvre choisie. Nos gouttières sont disponibles en plusieurs modèles, réalisées avec un procédé d’extrusion du PVC ou co-extrusion COEX.
• Légère à transporter et facile à installer
• Propriétés mécaniques stables dans le temps
• "Eco-Friend" matériau : 100 % recyclable en fin de vie et faible utilisation de la production de sources fossiles x
• Haute stabilité de la couleur dans le temps
• Gamme complète d’accessoires
• Solutions personnalisées (étiquetage, emballage)
Vous trouverez près de chez vous un professionnel spécialiste de la vente de matériaux de construction.
Les points de vente, s’adressant majoritairement aux professionnels, distribuent des produits de qualité, certifiés, fabriqués le plus souvent en France par des grandes marques.
Devis gratuit, services de livraison sur chantier, conseils sur le choix des matériaux.
Vous ne trouverez pas de prix sur ce catalogue, mais nos équipes vous proposeront un devis après avoir validé votre besoin.